Le 17 septembre 2022, Le Salon Beige évoquait le petit livre de l’abbé Roquette dans une tribune intitulée « L’école à la maison, une institution divine ? »

Nous avons tâché d’extirper Armand de Pontmartin des oubliettes de l’histoire des lettres, en rééditant ses Contes et rêveries d’un planteur de choux, un beau recueil d’exercices littéraires parfaitement maîtrisés avec une inspiration agréablement provinciale.
Le média royaliste Vexilla Galliæ a récemment mis en ligne, le 18 février 2022, un bon billet sur le sujet, intitulé : « Ex-Libris. Armand de Pontmartin : un écrivain légitimiste maudit, chantre de la province ».

Le portail numérique 123loisirs.com, proposant une sélection de livres pour toute la famille, met en avant avec un coup de cœur notre réédition du premier roman de René Bazin : Stéphanette. Un grand merci !

L’excellent roman Dans la montagne de José María de Pereda, préfacé par René Bazin qui fut à l’origine de sa traduction française, a recueilli la note maximale de quatre étoiles dans le numéro 201 (décembre 2022) de la revue Plaisir de Lire.
Raison de plus pour le lire, si ce n’est pas déjà fait… !

Notre petite maison d’édition peut être fière de remettre l’abbé Jaime Balmes et ses œuvres sur le devant de la scène.
Son opuscule Le Socialisme a spécialement intéressé la rédaction du site Vexilla Galliæ, qui a publié une brève analyse sous la plume de Jean de Fréville et le titre « L’abbé Jaime Balmes contre le socialisme ».

En juillet 2022, Guillaume Lenormand, Georges Leroy et Jean Voisin s’intéressaient favorablement au premier roman de René Bazin, Stéphanette (réédité par nos soins), dans le numéro 43 de leur revue Au fil des pages.

Le roman « parisien » Une tache d’encre, si enjoué, si gai, si léger et si plaisant, a plu à l’équipe de rédaction de la revue Plaisir de Lire qui, dans son numéro 200, décerne quatre étoiles, soit la meilleure évaluation possible, à la troisième production de René Bazin, celle-là même qui le propulsa au faîte de la gloire littérature grâce à un prix de l’Académie française.

Après sa période de souscription, l’imposant volume La Légitimité d’Antoine Blanc de Saint-Bonnet est enfin disponible.
Un beau pavé de 624 pages, originellement paru en 1872, et qui fait une suite à La Restauration française du même auteur. C’est une critique en règle du libéralisme que Saint-Bonnet sent s’installer durablement en France, mais c’est aussi un jet d’espoir vers le relèvement providentiel du royaume…
« [U]ne première concession de principe à la Révolution appelle celle-ci tout entière. […] Ce qu’il y a de plus à redouter dans le libéralisme, c’est qu’il ignore entièrement de quel principe il est issu : la raison ne sait où l’atteindre. […] Comme en philosophie, le vrai danger en politique est dans le commencement de l’erreur. […]
» Le libéralisme est le passage qui conduit à l’abîme. Il est le terrain provisoire sur lequel la société et la Révolution semblent s’entendre pour toujours, mais où cette dernière recueille des forces nouvelles pour nous étouffer. Aujourd’hui le libéralisme n’est là que pour offrir périodiquement à la Révolution le moyen de monter d’un degré, s’attribuant alors l’honneur de l’avoir à jamais fixée. Il se modifie de la sorte sans cesser d’être lui, et chaque fois la société, par un compromis douloureux, cède un terrain que la Révolution vient occuper définitivement. Ainsi des portes de la vérité jusqu’au fond de l’erreur, il entretient à nos frais la route où les peuples s’avancent en dormant. Quand ils s’éveillent, il n’y a plus pour eux de retour. […]
» L’Empire fut le couronnement du libéralisme, autrement dit l’installation du césarisme : la plus parfaite substitution de l’homme à Dieu, de l’État à l’Église qui ait eu lieu en dehors de l’Empire romain, ou, si l’on veut, de l’Empire ottoman. […]
» Les hommes ont retiré au Créateur ses droits sur la Création, et ils espèrent garder les leurs ! Ne pouvant compter sur eux-mêmes, ils veulent compter sur l’État, lequel a pris la place de l’Église. Et pourquoi compter sur l’État ? parce qu’il dispose de la force ? Mais, chez les êtres moraux, cette force obéit à la force morale, que celle-ci s’égare ou suive son chemin ! […]
» L’orgueil : voilà le fait, voilà l’essence de la Révolution. […] Par suite de l’état de la nature humaine, mettez le bien et le mal en champ clos, et le mal renversera le bien. De même, toute lutte à armes égales entre la vérité et l’erreur sera la victoire de l’erreur sur la vérité.
» De là l’urgence de l’autorité : autorité spirituelle, pour protéger la vérité contre l’erreur ; autorité civile, pour protéger le bien contre le mal… Hors de ce point de vue, il n’y a plus de politique. […]
» Il n’y a pas que des lois chez les hommes ! L’exemple est la seconde autorité, puisqu’il est la source des mœurs. […]
» La démocratie est une cessation du mouvement d’ascension vers la vie, dès lors une dissolution de la Société. […]
» Dès que les peuples échappent aux croyances, ce n’est point pour s’élever dans les idées, mais pour retomber dans les sens. […]
» Lorsqu’il n’existe plus de noblesse pour étendre l’action de l’Église, pour prolonger et répartir l’autorité, l’État ne peut plus agir, dans le fait, que par le despotisme, puisque le pouvoir reste seul… […] Agriculture et Royauté chrétienne, au lieu d’une loi athée dans une constitution anglaise, sont les deux conditions du bonheur : c’est le lot que le ciel a fait à la France, et ce sont les deux éléments de sa constitution. »


L’avant-propos du révérend père jésuite Luis Coloma à ses Récits espagnols est le condensé de la perspective catholique sur la littérature.
Cela n’a pas échappé à Vexilla Galliæ, qui a en outre su savourer les lectures récréatives proposées par l’éminent auteur espagnol. L’article que ce média leur dédie s’intitule « Ex-Libris. Les “Récits espagnols” du père Coloma » et date du 22 octobre 2022.

Le numéro 199 de la revue Plaisir de Lire. Littérature et vie chrétienne (juin 2022) décernait quatre étoiles, soit la note maximale, aux romans Stéphanette et Ma tante Giron de René Bazin réédités par nos Éditions du Drapeau blanc.