Description
Ce panégyrique de Jeanne d’Arc, prononcé le 8 mai 1873 dans la cathédrale d’Orléans, est sans doute l’un des plus beaux qu’ait mérité « la sainte de la Patrie », bien avant même qu’elle ne fut portée sur les autels.
Il fallait un Juif converti, et la science d’un Monseigneur Lémann, pour établir cet étonnant parallèle entre les saintes de l’Ancien Testament, dont son peuple était dépositaire, et la Sainte du Nouveau Testament.
De Déborah, Judith, et Esther à Clotilde, Geneviève et Jeanne d’Arc, c’est toute l’âme de notre pays de France qui vibre dans ce texte magnifique.
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