C… quoi, au juste ? CEFOP, bien sûr !
C… quoi, l’histoire ?
C… comme dans un « papyrus pour les enfants » ?
D’une certaine manière, vous pourriez considérer la chose ainsi. Effectivement, c’est un peu comme dans l’affaire de la Basilique Notre dame des Enfants, que vous pouvez découvrir en vous rendant soit ici https://nd-enfants.org/histoire/, soit au cours de l’un de vos déplacements, directement sur place à Chateauneuf-sur-Cher (18190 – 8, rue du Champ-de-Foire).
Ç…a commencé comment votre histoire ?
Eh bien un peu comme celle de l’abbé J. Ducros, mais 114 ans plus tard. Résumons ce que vous pouvez trouver ici :
En 1975, une poignée de laïcs catholiques prennent conscience du délabrement, notamment du fait de l’école, de deux sanctuaires sociaux : Église et Famille.
Ils refusent de suivre le mouvement menant à l’ignorance religieuse et intellectuelle et fondent le
CEFOP sur des principes clairs :
- faire célébrer une messe quotidienne pour le salut des enfants ;
- informer les responsables (parents, enseignants…) ;
- aider l’instruction catholique ;
- trouver les moyens matériels pour financer un système boursier.
Ils recherchent activement et trouvent rapidement des appuis sûrs et discrets :
- saint Joseph, intendant de la Divine Providence ;
- des prêtres affermis dans leur foi bimillénaire ;
- beaucoup de donateurs généreux, grands et petits se privant souvent de leur nécessaire ;
- une petite équipe de bénévoles – exclusivement – appliquant « la règle des trois P » : Patience + Persévérance + Pugnacité.
Et – Deo Gratias ! – depuis 1975, ce « pari fou » est un pari tenu !
- Pas une seule journée ne se passe sans que la sainte Messe ne soit célébrée pour le salut des enfants depuis le 1er septembre 1975.
- Pas beaucoup, mais un peu partout, des établissements se voulant vraiment catholiques fondés souvent avec l’aide ou le soutien du CEFOP.
- Pas moins de 98 % des dons reçus depuis la fondation reversés aux familles ou aux établissements, pour aider à l’instruction de dizaines de milliers d’enfants.
Cependant, les temps ont changé, et ils sont durs. Les causes en sont connues :
- Disparition naturelle des donateurs anciens ;
- Inflation entretenue, et fiscalité alourdie ;
- Droits de succession prohibitifs ;
- Lois liberticides.
Et leurs effets sur les familles et les institutions libres et financièrement indépendantes de toute aide se font de plus en plus étouffantes, au sens propre du mot.
- Libertés « constitutionnelles » rognées ou supprimées pratiquement ;
- Difficultés d’accéder aux établissements les plus libres (trop loin, trop chers…) ;
- Marginalisation financière et sociale ;
- Inspections suspicieuses et tatillonnes multiples ;
- Découragement réglementaire ou « légal ».
Ainsi, il est très évident que le « pari fou » de 1975 ne pourra continuer à être « tenu » que grâce à la générosité renouvelée d’un grand nombre de personnes, libres et animées du sens de leurs responsabilités.
Il nous est en effet impossible, individuellement, de répondre de manière efficiente à la question : « Quel monde allons-nous laisser à nos enfants ? »
En revanche, c’est à la portée de chacun d’entre nous, au travers des moyens mis à notre disposition par la Providence, de répondre à la question inversée :
« Quels enfants allons-nous laisser à ce monde ? »
La réponse à cette question est – strictement – de notre responsabilité. Chacun peut, à sa place, y répondre. Le CEFOP continuera – si Dios quiere – à la sienne, son action dans ce sens : il vous est possible de l’aider en allant regarder cette page :