Les églises se vident, les couvents et monastères disparaissent les uns après les autres, les prêtres ne se recrutent plus ni ne se rendent visibles dans la société… La foi des rares fidèles semble trancher avec celle des siècles catholiques passés.

Qu’est-il arrivé ? C’est ce que l’auteur italienne Cristina Siccardi nous explique dans cet ouvrage faisant, un demi-siècle après l’événement, le bilan sans concessions du concile Vatican II.

« À qui irions-nous, Seigneur ? » (Jn 6, 67). Au concile Vatican II, peut-être… ? Un demi-siècle a passé depuis le concile le plus étudié de l’histoire, qui est aussi le moins clair de toute l’Histoire : quels en sont les fruits ? Comment, au cours de ces décennies, les figures de l’évêque, du prêtre, du moine, du religieux, de la sœur, de l’enfant de chœur, du catéchiste se sont-elles transformées ? Que proposaient les schémas préparatoires au concile pour qu’on ait décidé de ne pas en tenir compte ? Le pape François et Benoît XVI ont cosigné l’encyclique Lumen fidei pour l’année de la foi. Mais qu’est-ce qu’avoir la foi, et qu’est-ce que cela implique ? Cet ouvrage offre des réponses historiques et spirituelles à ces interrogations.

On compare souvent notre époque au IVe siècle, où saint Athanase prononça ses mots : « aujourd’hui, c’est l’Église tout entière qui souffre. Le sacerdoce est vilipendé de façon choquante et – pis encore ! – la sainte crainte de Dieu est raillée par une irréligiosité impie. […] La foi ne trouve pas son origine dans notre époque, mais elle nous est venue du Seigneur, par l’intermédiaire de ses disciples. Que l’on n’abandonne donc pas, de nos jours, cette Tradition, conservée dans les Églises depuis le début. Ne soyons pas infidèles à ce qui nous a été confié ! »

« À qui irions-nous, Seigneur ? » (Jn 6, 67). Au concile Vatican II, peut-être… ? Un demi-siècle a passé depuis le concile le plus étudié de l’histoire, qui est aussi le moins clair de toute l’Histoire : quels en sont les fruits ? Comment, au cours de ces décennies, les figures de l’évêque, du prêtre, du moine, du religieux, de la sœur, de l’enfant de chœur, du catéchiste se sont-elles transformées ? Que proposaient les schémas préparatoires au concile pour qu’on ait décidé de ne pas en tenir compte ? Le pape François et Benoît XVI ont cosigné l’encyclique Lumen fidei pour l’année de la foi. Mais qu’est-ce qu’avoir la foi, et qu’est-ce que cela implique ? Cet ouvrage offre des réponses historiques et spirituelles à ces interrogations.

On compare souvent notre époque au IVe siècle, où saint Athanase prononça ses mots : « aujourd’hui, c’est l’Église tout entière qui souffre. Le sacerdoce est vilipendé de façon choquante et – pis encore ! – la sainte crainte de Dieu est raillée par une irréligiosité impie. […] La foi ne trouve pas son origine dans notre époque, mais elle nous est venue du Seigneur, par l’intermédiaire de ses disciples. Que l’on n’abandonne donc pas, de nos jours, cette Tradition, conservée dans les Églises depuis le début. Ne soyons pas infidèles à ce qui nous a été confié ! »